Prée-Crée: Kiyomi Katsuki

. Katsuki est bien différente de l'idée que l'on se fait de la femme parfaite. Oui, il y a un gouffre entre la beauté fatale et notre jeune femme. Et pourtant... Si elle daignais faire un effort elle pourrai être bien plus que seulement "jolie"
Et pour cause !
De jolis cheveux blond coupé au épaules, des mèche encadrant délicatement un visage au trait fins. Une bouche parfaitement dessiner qui se tord en un sourire au coin dont elle à le secret, de charmant yeux en amande, aux prunelles,
cela peut paraître étrange, dorées. Deux magnifique lac d'or. De long cils qui cache au regard trop impudent la magie de ses iris dorés, et pour ne rien gâcher, une silhouette fine et élancée...
Fine et élancée... Mais, parfaitement et désespérément plate. La seule différence entre une planche à pain et notre demoiselle, outre le fait qu'elle ne se ressemble absolument pas, ce qui, je vous l'accorde, n'est pas un point des plus minime,
C'est que l'une est de bois, l'autre de chaire et d'os... Cette absence de forme, et son mauvais caractère, ont souvent fait fuir plus d'un prétendant, et attiré les moqueries et les jalousie des filles moins fines, ou des filles parfaites...
L'anorexique, la maigre, la grande sauterelle, et ce n'est pas son mètre soixante-dix qui vous le démentira...
D'adorables surnoms d'enfance qui ont forgé chez elle une répartie cinglante, et une profonde aversion pour tout ceux qui ose, ne serai-ce, qu'insinuer quelque chose sur sa masse corporelle... Ou la reluquer de trop près.
L'avantage maintenant, c'est que cette absence de chair lui a permis de développé une musculature fine et délier, toute en nerf et en souplesse.
Aucune gêne n'est donc occasionner pour le tire à l'arc à cause d'un poitrine trop opulente, et aucune chute envisagée à cause de la loie de la gravité qui dit que si les fesse sont trop lourde elle finissent toujours par rejoindre le sol...
Plusieurs petit détail agrémente son physique, entre autre une petit piercing au coin de l'œil qu'elle maquille habilement en mouche lors des soirées, un tatouage dans le creux des reins et un autre autour du bras.
Le premier représente une figure abstraite, représentant le chaos. Et celui entourant sont bras et à l'image de l'Ouroboros, le serpent se mordant la queue, symbole de l'Immortalité, et du travail du Grand Œuvre...

•Toc: Elle a l'habitude de tiré sur une mèche de ses cheveux et de se mordiller la lèvres lorsqu'elle est nerveuse...



. Le caractère de Katsu' est l'opposé de son physique, il est simplement, est purement impossible de la décrire mentalement. Élevée dans la rue, et orpheline, elle a développé très jeune une facilité d'adaptation hors norme, et manipule à la perfection ses interlocuteur.
Très bonne actrice, et menteuse hors pair, il est difficile, voir impossible, de discerner le faux du vrai, le mensonge de la vérité chez la jeune fille.
Mais les traits dominant qui la caractérise lorsqu'elle est en publique, bien qu'ils varient en fonction des situations, sont assez marqués.
Il y a d'abord, l'ironie, le sarcasme, que son interlocuteur lui soit inférieur ou supérieur ne la dérange aucunement et ne change rien à sa répartie.
Un étonnant sadisme, voir de la cruauté... Il lui a fallut apprendre à faire des sacrifice étant jeune, et si quelque chose la ralentit, elle n'hésitera pas à s'en débarrasser.
Elle peu paraitre prétentieuse, et au dessus de tout, mais elle vous dira qu'elle à juste conscience de ses capacité et une confiance en elle remarquable.
Très fière avec ses pairs, elle sera tout de même capable de se rabaisser et de faire les concessions les plus vils, si elle lui permettent d'arrivé à ses fins. Tout chez elle n'est là que pour réussir son but.
Et pour cela elle sera capable d'user de n'importe qu'elle artifice, et pas forcément des plus recommandé... ni des plus sages...

. Elle a aussi une conscience assez développé sur tout ce qui touche à sa liberté. Incapable de se plier à un règlement, si en apparence elle le suis, c'est qu'elle y trouve son compte, sinon, attendez vous à des surprise...
Elle déteste que l'on choisisse à sa place ou que l'on critique les choix qu'elle à pu faire. C'est une jeune femme dominante qui aime beaucoup soumettre des gens, plus particulièrement les homme, et à les obligé à se plier à ses quatre volontés.

. En dehors de ça, dans l'intimité de la miss, elle change du tout au tout... Seul Elle, à jusqu'ici eu le privilège de la connaitre vraiment... Il faut dire aussi que peu de monde a essayer...
Katsuki est très protectrice envers celle qu'elle considèrent comme sa sœur, et c'est sans doute la seule personne qu'elle écoutera et envers qui elle restera loyale tout au long de sa vie...
Là, elle peut se permettre d'être drôle, attentionnée et gentille. Une fois attaché à quelqu'un elle sera au petit soin pour lui/elle, quitte à en faire trop et à l'étouffer...
C'est une jeune femme forte très intelligente, qui sais prendre des décision et assumer un rôle. Elle peut paraitre très immature, comme d'un apparence aguicheuse, tout dans la séduction, mais elle est enfaite très réfléchit et calculatrice...

•Peurs: La seule peur qui la hante c'est que Shiori soit malheureuse, et de finir un jour soumise à une autre loi que la sienne.
•Rêves: Elle rêve de crée un royaume unifié autour de Jet'Ran et d'y voir son amie heureuse. Mais elle sait que pour ça elle doit arrivé au pouvoir...


I/ Il était une fois...

. Qui es-tu ?
Cette voix... Qui résonne dans ma tête... Je n'en sais rien, et je n'ai jamais su...
Qui es-tu ?
Le vide. Le néant. Un grain de sable dans le sablier du temps...
Kiyomi... Kiyomi... KIYOMI !!

. J'ouvre soudainement les yeux, je transpire, le souffle encore cours, et la tête emplit de ce cauchemars qui ne me quitte pas... Depuis quand ai-je commencer à y penser ?
Je ne sais plus... ça remonte à si loin. Je ne crois qu'une seules nuit depuis mon arrivé ai été calme.
Toujours ce même rêve... Une femme courrait devant moi, grande, vingt-cinq ans environs... Elle tenait dans ses bras un tas de chiffon sale. Elle courrait dans les rue de Jet'Ran.
Cela ressemblait plus à une fuite éperdue qu'à une course...
Elle arrivait devant une immense bâtisse. Je reconnaissait immédiatement l'Orphelinat où je passait désormais mes jours.
Et là, elle jetait le tas de chiffon sur l'escalier avant de partir en courant. Laissant sur le perron de l'Orphelinat une petite chose blonde, de quelques jours à peine, se débattre.
Une vieille venait ouvrir ramassait la gamine et se tournait vers moi:
Et à chaque fois, je ne savais pas répondre...
Je savais que je devais dire mon nom, mais dès que cette femme me le demandais, il semblait s'effacer de ma mémoire...

Je n'eus pas le loisir d'y réfléchir plus longtemps, une main me tira brusquement de ma couche et mes genoux frappèrent durement le sol:

cracha Miss Yard, une matrone énorme, et haï de tout l'orphelinat...

C'était elle qui était charger de faire régner l'ordre dans le Dortoir N°5, celui occupé par des fillette de l'age de mon age, pas plus de 10 ans.
Il faisait froid... Ici nous n'avions ni chauffage, ni eau courante, mais il me fallait me lever, et aussi vite que possible.

murmurai-je en restant au sol, le front posé contre le parquet froid, en priant pour qu'elle aille s'en prendre à quelqu'un d'autre.
Une douleur sourde me vrilla les cote lorsqu'un sabot de bois vint me frapper, m'envoyant rouler au sol. Je m'interdit de pleurer. Il n'en était pas question. Si une seule des filles de la chambre me voyait pleurer, elle en profiterai pour m'humilier encore.
Et je ne le supporterai pas.
Je restait au sol, immobile. Yard du se dire qu'elle en avait fini avec moi et se tourna vers une autre pensionnaire.
Nathaniel, la pauvre était malade depuis deux jours, elle avait attrapé la grippe, et tout le monde savais ici que tomber malade était une des pire choses qui pouvais nous arrivé. Si on ne guérissait pas vite, on mourrait.
Mais Yard était en colère ce matin là... Elle attrapa la petite par les cheveux et la tira hors de sous ses couvertures en hurlant des insanités...
Je ne comprenais rien, encore trop sonné. Mais tout le dortoirs était immobile, priant pour que la mégère disparaisse au plus vite.
Et puis la sentence tomba:


Ici, entre pensionnaire, on appelait cette punition, Le Supplice de la Bassine, in nous plongeais la tête dans l'eau, certain n'arrivait pas à retenir leur respiration et sentait l'eau dans leur poumons.
La pauvre Nat' devint toute blanche, et nous, nous retenions notre souffle.

beugla notre surveillante, en trainant sa victime dehors.

J'enfilais rapidement une tunique sale, des guêtres et filait avec les autres filles vers la cantine...

. Beaucoup de ces filles me dévisageaient avec dégout... Il faut dire que contrairement a elles, je portais les cheveux court, au niveau des oreilles, résultat d'un bizutage, et ils peinaient à repousser...
Mais aussi, et surtout, et c'était bien le seul avantage que je possédais, j'avais 10 ans et toujours pas une forme en vue... Je n'avais pas à subir les regards et les geste déplacer des surveillants et des garçons plus âgés.
Je n'avais pas à redouter qu'au détour d'un couloir il ne me coince et me fasse du mal...
C'est ce en quoi j'avais de la chance. En retour je subissais les moqueries de mes camarades et leur efforts pour me faire punir. Ce que je redoutais bien plus qu'une bande de garçons éméchés.

Je m'installais à une table et regardais d'un air dégouter la maigre purée et la viande de corbeau que nous avions pour seul repas. Comme tout les autres pensionnaires, je cachais le pain sous ma tunique.
Mais contrairement à eux je mangeais.
La viande était fade, la purée avais un gout acre, le tout était déjà froid. Mais tant pis.

Une assiette vola dans ma direction, j'effaçais des épaules, la laissant s'écraser sur le mur derrière moi. Indifférente. Je savais qui avait lancer l'assiette. Sérénice. Sérénice Hiruka. Une jolie rousse toutes forme et en rondeur.
Je sentait ses grand yeux vert posé sur moi, son rictus de haine et l'envie de me tuer si elle le pouvait.
Elle me haïssait. Nous étions toute deux des "Indéfinis" des orphelines depuis la naissance, qui avait toujours vécu ici, et, aussi loin que je m'en souvienne, elle m'avais toujours haïs. Et je lui rendais bien.
Mais je savais que La Yard ne tarderai pas à revenir. Elle ou un autre, et je me ferai punir. C'est ce que souhaitait Sérénice et ça bande. Pas question de lui faire ce plaisir.
Mais je me vengerai...

. Après manger, les tache de la journées nous furent distribuées et je du m'occuper de nettoyer les cuisines. Surveiller par Leivy, une jeune surveillante sadique.
L'avantage, c'est qu'elle fumait une herbe, une herbe rouge/orangé qui poussait dans les Landes, près d'Océriane. Addict, elle me laissa seule pendant plus d'une heure.
Le temps pour moi d'amasser suffisamment de nourriture pour un mois. Enfin suffisamment de pain.
Cela fait, elle me renvoya dans mon dortoir. En arrivant je remarquais qu'un détail clochait. Mais éreintée je m'affalait sur mon lit pour finir ma nuit si durement écourté.
Quelque filles vinrent me rejoindre, trop fatiguées pour parler elles aussi.

. Le bruit métallique des roues d'un chariot et le claquement des sabots nous tira de nos léthargies respectives.
Toutes se bousculèrent vers la fenêtre, le nez collé à la vitre.
La Yard, Leivy, et Miss Ryuga, la directrice, escortait un draps blanc poser sur quelque chose vers le chariot qui attendait devant les grilles.
Je ne voulait pas savoir ce qu'il y avait sous se draps blanc, mais comme si je ne devais pas l'oublier, mon regard se posa sur le lit à coté du mien.
Les affaire de Nathaniel avaient disparuent.
Ils l'avaient noyé.
Et ça pouvais nous arriver à tous.
La vérité me frappa avec force, et je titubais. Je venais de me rendre compte que je risquait ma vie.

II/ Rencontre...

. C'est surement à partir de ce jour là que j'ai décider de relevé la tête et de faire face. J'avais passez ma vie en spectatrice, priant pour que rien ne m'arrive et que tout se tasse.
A tord ou à raison d'ailleurs. Mais je ne pouvais pas continuer ainsi.
Ce soir là, Sérénice et sa bande me barrèrent le passage. Elle, ne se battait jamais. Les garçons le faisait pour elle.
Et moi, j'avais toujours été seule. Mais il n'était pas question que je me contente de les laisser faire cette fois ci.

Je reculais, par réflexe, trébuchais, me rattrapais tant bien que mal, pathétique.
Je sentit mon index se planter sur quelque chose de pointu... Un clou. Je me mordis la lèvre pour ne pas hurler tant la douleur était nouvelle pour moi.
Alors qu'un des garçon, de trois ans mon ainé, s'avançait vers moi, un sourire au lèvre, je tendis instinctivement la main, d'un geste vif.
Un claquement dans l'air. Une lanière couleur sang venait d'enserré sa gorge, et cette lanière, elle sortait de mon index...
Je ne me posait pas la question et je serrais. Je sentit le sang, fluide, se durcir et s'affiner, devenu tranchant, lacera la gorge du sbire de cette lâche de Sérénice. La tête roula à ses pieds tandis que le corps s'affaissait devant elle.
Le fouet réintégra ma main avec un chuintement.

lâchais-je doucement.

Tremblante elle fit demi-tour et plantant la ses hommes de main elle déguerpis.


Je levais la main, et la pointait du doigt. Un filin en sortit, fendais l'air la transperçant à l'endroit du cœur, le sang réintégra mon corps.
Froidement, je tuais les autres. Personne ne devais savoir mon secret.
Je retournais dans mon dortoir, laissant 5 cadavre derrières moi. Le pire... Ou le meilleur, c'est que je ne regrettais rien, et mieux encore, cela m'avais plus. J'avais sauver ma vie, quitte à supprimer la leur.

. La découverte de ce petit don me rendis confiante et bientôt plus personne n'osa ne serai-ce que m'adresser la parole.
Les surveillants se doutais que quelque chose c'était passé mais la perte de pensionnaire, meurtre ou non, ne les inquiétait pas. C'était la loi de la nature... Le fort mange le faible.
Mais je me sentait seule. La puissance et le respect ne m'avais pas apporter d'amis, comme je l'avait cru de prime abord...
Et je déambulais dans l'Orphelinat comme un zombi, habituer au chuchotement sur mon passage et au pas de recul. A 10 ans... Vous parlez d'une vie.

. J'allais bientôt avoir 11 ans. Et, tel un fantôme, je faisait ce que je faisait d'habitude, le zombi. C'est là que j'aperçus un petit groupe qui venais d'encerclé une fillette, de deux ans ma cadette, peut-être moins.
Tout d'abord je décider de laisser faire... Mais le visage de la petite fille restait devant mes yeux, impossible de l'effacer, la crainte, celle que j'avais ressentit chaque jour depuis mon arrivé.
Elle ne devais jamais subir quoi que ce soit de mauvais, c'était impensable. Sans m'en rendre compte mes pas m'avais ramener vers le groupe.
Sans le savoir je venais de dévoué ma vie à cette fille que je ne connaissait pas. J'étais prête à tuer pour elle, j'aurai tout fait pour elle d'ailleurs. Sans hésiter.
Je ne voulais que la voir rire.

Je m'approchait par derrière, le groupe ne me voyait pas, je croisait les bras et je me raclait la gorge... Mon pied tapotant impatiemment le sol, mon regard doré fixé sur les agresseurs, chargé de haine.
La surprise se dessina, délicieuse, sur le visage de ceux que j'avais surpris à faire du mal à celle qui serai désormais ma protégée.
Ils la lâchèrent, je suppose qu'il se remémorai les cinq cadavre qui jonchais mon chemin maintenant. Et avec raison. Mais je ne voulais pas souillé un regard que je savais innocent. Pas tout de suite... Elle aurait le temps d'apprendre...

la phrase avait fusée, avec la douceur implacable qui serai la mienne désormais

Ils filèrent sans demander leur reste, la petite sembla se recroqueviller, il était évident qu'elle avait peur. Et je me pris d'affection pour elle.

demanda la petite inconnue.

Je ne pu m'empêcher de rire ! C'était si absurde ! Mais je voyais bien qu'elle redoutait que je soit pire que ceux qui avait tenter de la voler. Je me mis à sa hauteur et dit, rassurante:


Je lui offrit un sourire et l'emmenais avec moi. Je venais de ma faire une amie, la première et la seule. Elle s'appelait Shiori Shizuka. Et elle serai pour toujours Mon Guide Tranquille... Toujours.

III/ Survivre pour mieux Mourir...

. Dix ans se sont succéder à la suite de cette rencontre, dix ans que j'ai mis à profit pour réaliser le seule but que je m'étais fixé.
Une évasion de l'orphelinat couronné de succès avais été la première pierre de l'édifice que je construisait pour celle qui gardait mes secrets et dont je protégeais la vie.
La suite fut moins évidente. Ils nous fallait voler pour survivre, ce en quoi Shiori excellait, elle était d'une discrétion redoutable. Il nous fallait aussi tuer pour continuer à avancer sur la voix que nous nous étions choisit.
Je m'en chargeais le plus souvent. A 17 ans, nous avions une solide réputation auprès des enfant du quartier, et bientôt auprès des habitants... Il nous fallait bouger sans cesse, fuir, nous cacher.
Nous étions poursuivit, par quelqu'un, qui fini un jour par nous rattraper...
Nous avions parcourut des kilomètres depuis Jet'Ran jusqu'au Village des Montagnes, là bas, nous passerions en clandestines jusqu'à Océriane, c'est du moins ce que nous avions prévu.
Seulement, Lui, nous avait retrouvé, et avant même qui nous ne mettions un pied dans le Village, il nous tomba dessus.


D'instinct je me plaçait devant Shiori, mais celle-ci avait toujours eu un sacré tempérament malgré le fais qu'elle reste dans l'ombre et elle se plaça à coté de moi, du haut de ses 15 ans,
elle ne parla pas mes sont regard noir aurait suffit à faire fuir une horde de mercenaires en colère... Le problème c'est que Lui, n'était pas un Mercenaires, il me semblait bien pus dangereux...

"La vie aussi à une fin"

lâchai-je

Je tressaillit. Je tuais pour que nous puissions vivre. Pas pour être un assassin. Je serai le poing, je sentit la petite pointe de fer qui ornait mon pouce droit piqué mon index avec force. C'est Shiori qui en avait eu l'idée,
la pointe me blessait plus rapidement que si je devais m'entailler le pouce, et plus proprement qu'une lame. Une goutte de sang tomba au sol... Promesse muette de ce que j'avais à offrir à l'inconnu.
Shiori avait déjà sortie ses dagues, comme si elles avait toujours été là.
Lui, nous fixait avec un amusement non dissimuler:

siffla Shiori avec dégout.

J'hoquetais, je venais de rencontrer la deuxième personne qui connaissait mon secret. Il s'appelait Reikon Yaiba, mais ça, je l'apprendrais plus tard...

. Il appartenait à la Confrérie de l'Ombre, un groupe d'assassin de Jet'Ran. Je n'en avais jamais entendu parler. Et pour cause, la Guilde était très fermé, et presque inconnue, sauf par les autres Guildes et les hauts dignitaires des trois cités.
Il devint notre Mentor. Avec lui, nous avons appris à être plus silencieux d'une ombre, plus invisible que l'air, plus léger d'un oiseau. Il nous appris la liberté et le libre arbitre. Ils nous fit gravir des montagnes escarpé, des tours lisse comme du verre,
Il nous fit voler des document secret, et ils nous fallait les remettre à leurs place ensuite. Il nous appris à nous battre.
Rapidement, la petit Shiori Shizuka et son amie Katsuki Kiyomi furent admis dans le cercle. Et quand notre apprentissage fut terminé, nous étions devenu un des tandem les plus meurtrier d'Akushon.
La dernière chose qu'il nous apprit fut de ne jamais faire confiance à la Guilde. Car être un Assassin ne signifiait pas servir la Guilde.
Et il disparut...
Je sais qu'il est mort désormais. Je sais qui l'a tuer. Et Shiori et moi avons châtié ceux qui ont oser s'en prendre à notre Maitre.
Et je compris une seconde chose. Pour vivre heureux, il me fallait accédé au pouvoir, je déciderai alors seule des décision à prendre.
C'est ainsi que commença notre lente ascension. Devenue ambitieuse, je mis toutes mes capacités dans l'obtention de ce pouvoir. Et quand notre Meneur mourut, d'une mort assez floue dont je fut probablement l'auteur... ou pas, c'est un secret, je fut nommé à sa place.
Je n'avais que 20 ans, nommer un Meneur de cet âge était un fait rare. Et je n'avait pas été bras droit. On doutait de moi. Je nommais Shiori pour me seconder. Elle seule serait capable de me tempérer et de me donner de bon conseils, que j'écouterai.
La Confrérie était sceptique. Mais nous leur avons prouver que ceux qui doutaient de nous n'avaient plus de raison de vivre.

. C'est maintenant que le véritable Jeu commence...


. Katsuki possède une arme magique réputer pour aller comme un gant à la demoiselle... Très polyvalente, il s'agit en premier lieu d'un couple de dagues, nommé Kurenai et Kin.
La première particuliarité de ces Dagues, est d'être magique... Ce sont des armes compatible, crée appartir des même matériaux selon un procédé vieux trouvé dans un livre poussièreux. Ce sont des lame jumelles.
A la demande de leur propriétaire, don le sang à été utilisé pour leur confections, elles s'allonge et se transforme en katana.
La seconde particuliarité de celles-ci est purement esthétique. Les lames, plutot longue, ne sont pas faite en acier, mais de diamant, préparé de manière à rester incassable, comme ton bon diamant,
mais aussi de résister à toutes les température, et comme toutes les armes magique, elle est traité contre les influences magique.
Elle sont équilibré par un fils d'or en leur millieu et leur bords sont aussi protégé par une pélicule d'or. Ce ne sont cependant pas des armes de lancé.
Posé pommeau contre pommeau, elles s'unisse pour formé un baton à double lame, Danketsu.
Adapter pour une femme, elles sont plutot légères.
Katsuki a fait rajouter des boucles d'argent au pommeau pour pouvoir y accrocher un fillin, en cas de transformation en grappin...

. Katsuki possède aussi un arc. Un très belle arc en bois d'ébène, souple, veiné de rouge. Les pointes sont solidifié dans de l'acier, et la corde est faite en boyaux de loups. Elle ne le prend cependant que pour les voyages ou les missions le necessitant...
Les flèches sont empennées de plume de corbeau et graver du double K. Kiyomi Katsuki.

. La demoiselle à la capacité, étrange, de pouvoir modeler à volonté son sang... On ne s'étendra pas sur le sujet... D'ailleurs, personne ne sais rien. Les seuls qui l'on vu sont mort. Et la Seule qui soit encore en vie ne trahira jamais son amie...
Le contre coup avis en fonction de la quantité de sang qu'elle sort de son corp et du temps de l'action.


•Katsuki posséde à son pouce gauche une bague qui se termine en pointe, celle-ci lui permet de s'auto-mutilé de manière rapide et propre lorsqu'elle doit faire appel à son pouvoir.
•Elle à toujours sur elle une petit bourse de cuir noire dans laquelle se trouve, non pas de l'argent, mais des pillule de régénération sanguine, ainsi que des cachets de vitamines.
•Elle est accompagné d'un corbeau, qui est enfaite une incarnation d'un esprit malin, nommé Xérès, celui-ci n'a pas la langue dans sa poche et aime beaucoup faire tournée en bourrique sa maitresse. A part à dire des bétises et à porter des messages, quand il n'a pas la flemme, il ne sert à rien, puisqu'il est plutôt lâche et fainéant.

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