Histoire courte

Il se réveilla un jour de printemps, jour ou l'on pouvait justement avoir cet air nommé "air printannier", d'un air jovial et heureux, savourant l'éclat du soleil tapant se peau de ses forte sensation chaude mais pourtant agréable. Se levant doucement pour se remettre en position assise, il s'était effectivement assoupi il y a environ une petite heure sur un banc du jardin public, attendant l'heure de ce qui sera un de ses plus beau moment de sa vie. Tout son corps s'était alors penché à l'horizontal, sauf ses pieds qui restèrent attiré par le sol de par la force gravitationelle du monde. Cependant, ceux-ci restèrent pourtant quelques centimètre au dessus de celui-ci, attiré de l'autre coté par le poid du reste du corps. Il le savait, son sommeil n'avait pas durée une heure, mais une demi heure, à la vue des ombre resplendissant par le léger feuillage sur lui, qui n'avait pas beaucoup avancé dès lors.

Le jardin public d'Astrub était vraiment magnifique. Il était d'un vert magnifique, plus beau encore que le vert du printemps, ni trop clair pour ne pas taper sur l'oeil de façon désagréable, ni trop foncé pour exprimer de la tristesse et de la mort, ce n'était pas genre de couleurs que l'on voyait dans tout les jardins. Même dans les jardin Sadida, on ne trouvait plus beau que celui dans lequel notre homme y était. Cette couleurs magnifique, accompagné du beau temps qu'il y accompagné de par un soleil resplendissant, était le cadre idéale pour le l'homme heureux, et amoureux. Amoureux était le mot, en effet, il avait fait la veille, qui se trouva être un samedi, sa déclaration à une feca appellé Isabelle, tard dans la soirée, ou elle y avait répondu répondu oui.

Enfin pas EXACTEMENT oui, pour être plus précis, elle ne avait pas dit oui. Elle ne lui avait pas non plus dit non. La vérité, pour être exact, elle ne lui avait dit oui, mais l'avais plutôt invité à venir le lendemain de cette déclaration c'est-à-dire aujourd'hui, dans l'après midi, pour y faire connaissance avec ses parents en ajoutant les mots : "J'espère que vous vous entendrez bien eux et vous, eux autant que moi je m'entend bien avec vous." Si cela n'était pas un signe de dire oui, ou du moins un synonime, alors que voulait-elle dire ? Cette amour de la veille fut un amour direct, sans se connaitre, les 2 personnes s'était vu, et s'était alors tombé amoureux l'un de l'autre de manière direct et réciproque. C'"tait ce qu'on appellait un coup de foudre, ainsi la raison pour laquelle l'homme ne connaissait pas encore les parents de sa futur épouse...

Sa bien aimé était en plus une fecatte bien jolie. Au nez fin, au corps ni trop gros, ni trop maigre, elle se présenta au yeux rouge de braise et au cheuveux roux. Portant des botte bleu et des cheveux rouges flamme, notre homme s'était bien tombé (en clair tu prend Fenell et t'a son épouse T.T). Ainsi, c'était la chose la plus merveilleuse qui ne le fut jamais arrivé. Non... La chose la plus merveilleuse qui puisse arrivé a n'importe qui quand on y pense. L'heure du rendez vous approcha vers cette fin d'après midi. Le soleil commença alors lentement à se coucher, transformant le ciel en une couleur orangé très agréable à voir. L'homme alors, se leva enfin, alors que pratiquement tout le monde était partit du parc. Toujours légèrement fatigué cause de sa sieste, il s'étira lentement et fortement et voluptueusement, avant d'entamer sa prochaine marche.

Puis il se mit enfin en route pour la maison de son aimé, pour ainsi y faire la connaissance de ses parents. Celle-ci se trouvait à quelque centaines de mettre du parc ou s'était assoupi l'homme pour y tuer le temps. C'était la même maison ou il avait raccompagné Isabelle chez elle la veille, à dos de sa dragodinde. Aujourd'hui, il n'était pas sur sa monture, mais bien à pied, pour une promenades qui se trouva être assez agréable du au fait que la couleur orangé que donnait le soleil couchant, donné au paysages alentour de l'homme une beauté extreme, sous ce beau jours de printemps.

Arrivé à l'endroit, l'homme ouvra alors la porte, monta les escalier jusqu'a troisième étages avec hate et élégance, puis tomba devant la porte de Isabelle. Il frappa alors d'un coup vif, impatient de voir son aimé. Croyant que ce serait elle, sa bien aimé, sa futur épouse, qui allait ouvrir, il fut tout autant surpris de voir que ce n'était pas elle, mais une autre dame. Lui ressemblant étrangement, mais en légèrement plus jeune. Isabelle lui avait effectivement il s'en rappelle, de ses frêre et soeur, dont une soeur avec qui elle n'arrêtait pas de jouer étant plus petite.

Il fit un geste polie de la main pour dire bonjour, puis demanda encore d'une ton calme et polie de voir Isabelle. Celle-ci, le regardant d'un air bizarre, attirant l'attention de l'homme, se contenta de lui répondre d'attendre un moment dans le salon. Il s'assit alors, sur un canapé de cuir, attendant donc son aimé encore. C'est alors que, il distingua la voix de la jeune fille qui lui avait ouvert il y a peu.Elle parlait à la porte, et attiré par la curiosité il alla voir. Devant lui, un jeune homme, sûrement son petit ami, se présentait. La jeune fille parlait à cet homme silencieusement, cependant, l'homme put distinguer ses dire par ses orille fine, caché derrière un mur :

"-Vite Daygoro, emmène le docteur, je crois que grand père fait encore cette crise d'amnésie. Oui c'est bien ça, sauf que aujourd'hui, il est remonté à l'époque ou il n'avait pas encore épousé grand mère..."

C'est alors que, en entendant ceci, l'homme se retrouva alors agé de plus de 50 ans, prémutaremment veilli en pas moins de 3 secondes. Fatigué par ce changement si soudain, il se rassit alors sur le canapé, pour y pleurer un bon coup...