La prise d'otage

La prise d'otage

Les discussion d'Ocerianne, pris avec un certain serieux, sera bientôt interromput par le mangeur de bonbon. Break était effectivement là, sur un toit, regardant le parlement à travers la fnêtre de celui-ci, il degusta lentement des bonbons en compagnie de Xalen, son bras droit. Il portait un masque, blanc, un simple masque en plastique, couvrant les yeux par une verre noir. Il voulait apparament caché son identité. Il était arrivé au matin, et attendit l'après midi pour agir. Lorsque le moment fut venu, que le soleil éclairait de pleine évanescence, il cru la bonne chose de juger le moment bon venu. Donnant une copie du masque qu'il avait, il lui dit :

"-Viens quand tu jugera le moment bon."

Depuis le toit, il sauta en direction de la fenêtre, la brisant au passage. Très vite, alors que tout les verre de la vitre n'était pas encore tombé, il fonca vers la pote en sautant tout les politiques, et ferma la porte avec deux de ses couteau et la bloquant avec la porte. Il avait pris au passage un siège d'un homme, le faisant tombé au passage, il l'utilisa pour remplacer son corps pour la bloquage de la porte. Il sortit soudain sa grande épée toujours dans on fourreau et exclama :

"-Ceci est une prise d'otage, veuillez ne pas paniquer, je ne vous tuerai pas tous..."

Plus tard, on pouvait voir les politiciens baillonés, et Break mangeant ses habituelles gateaux. Alors que la foule commençait à s'accumuler, Break monta sur le toit et cria :

"-Guilde des invisible, pour le bien de vos politiciens, je vous conseille de venir les chercher dans les 6 heures, à chaque heures, trois seront tué, dépêchez vous !"

Il se dépêcha de terminé sa phrase, et redescendit en bas pour continuer à bloquer la porte des gardes qui utilisait alors un belier. Entre temps, il avait la table pesant comme protection...

Je suivit break qui avait apparement une prise d'otage. En me voyant arriver, les politiciens avaient "legerement" peur. Je sortit ma flute pour jouer un air qui detendit l'atmoshpere.

restez calme, si vous faites exactement ce que je vous dit je ne vous tuerai pas...
-bordel c'est quoi ce truc! on dirait un squelette!
-fermes la ou je te jure que tu ne va pas apprecier le fait d'être venu au monde...
-espece de taré...vous voulez de l'argent? je peux vous en donner.

Il m'enervait. Je fit ma note la plus aigüe trés lentement en la faisant bien durer, provoquant un mal de tête de cet homme. Si il continuait, je risquait d'être moin pacifique qu'a mon habitude.

Une heures était passé, Break respecta son engagement, il pris 3 otages, et les mis dans une pièce à coté. On entendit pendant une dizaine de seconde des cris desesperé, jusqu'a ce que saint silence vit s'installer à nouveau. Break revint, fermant la porte pour qu'on ne voit pas les reste des trois otages, toujours avec sourire narquoi, qu'il n'abandonna pas malgré son crime. Il se dirigea ensuite vers la fenêtre pour monter une seconde fois sur le toit.

"-Voyez, voyez invisible, trois êtres sont morts aujourd'hui, ayez ça sur la conscience, et la mort s'abattra sur trois autres si vous continuez à persister à vous cacher."

Il revint, sans dire un mot, il s'assied, et attendit. Ayant une montre sur lui, il la regarda, avec hate, il attendait que l'heure tourne... Ce qui lui était un peu insuportable. Emily quand à elle, mangeait un cookies, nargant Break qui avait oublié des gateau. Il se contenta lui, des sucettes qu'il avait prise. Il n'en n'avais par contre que trois, il allait donc devoir les économiser, ce qui lui était plutôt une de ses occupation principal avec la prise d'otage.

Je m'ennuyais. Les otages semblaient terrorisés et je n'avais pas d'air a jouer qui collerai bien avec l'ambiance...Je vis break manger une de ces sucettes, nargué par sa poupée qui mangeait des gateaux. Moi pendant ce temps, j'etait assis sur la table pour surveiller si quelqu'un tentait quoique ce soit contre nous, mais ils etaient plutot sages.

break, j'ai l'impression que ton plan n'a pas marché des masses. Si les invisibles ne viennent pas a nous, on devra aller a eux, tu ne crois pas?

Un des hommes n'arretait pas de me fixer. ça me dergangeais un peu car je n'aimais pas ça et sa me stressais...Au bout d'un moment je me demandais si il ne faisait pas exprés.

qu'est-ce que t'as l'humain?
-vous voulez voir les invisibles? il rigola
vous ne les connaissez pas, si ils viennent, ils vous tueront. A deux vous ne pourrez pas les provoquer en duel sans en payer le prix!
fermes la. Ou tu subira le même sort que tes camarades. Si tu veux proteger ta ville, je ne te conseille pas de m'enerver.
-vous n'êtes même pas capables de vous proteger vous même...

J'eut comme un frisson qui me parcoura le corps. Enfin j'aurais pu dire ça si j'aurais encore mon corps, mais cet homme avait dit quelque chose d'assez inquietant. Avait-il préparé quelque chose? ou etait-ce seulement du bluff? Je preferai que ce ne soit que de la provocation.

C'est vraie que les invisible était bien long, il se demandait si il n'allait pas dire en public que c'était des tafioles, mais bon. Il se dit que l'attente était la meilleur des choses à faire pour l'instant, au point ou il en était. Soudain, il entendit le rire d'un des otages, disant que les invisible le tuerait sans problème. Il rigola à son tour, mas beaucoup plus ironiquement, en s'approchant de l'homme. Puis il s'assied à coté de celui ci.

"-Mais qui à parlé de se battre, ou se fritter. Je ne veux point leur vie voyez vous !"

Il continua, tout en mettant sa sucette dans la bouche de l'homme, ce qui n'était pas très hygéniénique.

"-Voyez vous, j'ai un plan. Un plan pour détruire notre ennemie commun, JetRan. Un plan révolutionnaire et.... Au résultat ironiquement incroyable. Mais pour ce but, j'ai besoin de gars discret, et malheuresement chez moi, personne ne vaut vos espions. Aussi j'aimerais rencontrer vos invisible. Dire qu'il sont coriace m'arrange voyez vous."

Il repris la sucette, puis fit signe à l'homme de se taire par la suite, tout en lui écrasant le pied avec une certaine pression et de force. Il était vraie que Break envisageai bientôt un plan machiavelique, secret, malin, rusé, même très ingénieux. Il était sur que si il avait un invisible avec lui, ou plusieurs même, son plan serai prêt à éxecuter.

Encore des ennuis...

C'est ce que je m'étais dis en voyant cet apprenti se ruer à mon encontre aussi vite que le lui permettait ses capacités naissantes... Peu de membres de la guilde connaissaient mon vrai visage et l'identité qui allait avec, et presque aucun des apprentis. Il n'y avait que les Maîtres invisibles, et leurs disciples, soit sept personnes en ce moment. Les cinq maîtres, et deux apprentis. Et bien sûr mon mentor, mais lui était une personne à part. De plus, sa disparition ne me garantissait même pas qu'il était toujours en vie, même si j'en étais intimement persuadé. Mais j'étais sûr de pouvoir leur faire confiance. Il s'agissait là d'une mesure de précaution. Chaque grade ne connaissait que les membres du cercle juste au-dessus, et ceux juste en dessous, même si nous pouvions toujours nous reconnaitre entre nous. Ainsi, en cas de prise, un membre ne pouvait tout révéler. Après tout, ne sommes-nous pas censés être discrets ? Pour le reste de la guilde, je n'étais que l'un des multiples intermédiaires entre les membres et notre chef. J'étais le seul à tous les connaître par leur identité complète, nom, âge et grade compris.

J'attendis donc l'apprenti. Il s'arrêta devant moi, et se plia en deux, les mains sur les genoux, afin de reprendre sa respiration, qui était alors sifflante. Il montra la direction de laquelle il venait et essaya tant bien que mal de parler, d'un ton empressé qui n'aidait en rien :

"Mon maître... Demander... de vous chercher... Prise d'otage..."

Ne comprenant rien à ses paroles, je l'arrêtais et lui demandait calmement de reprendre son souffle. Après quelques instants, il allait mieux. Il me fixa droit dans les yeux et reprit, d'une voix audible et tranquille cette fois :

"Mon maître m'a demandé de venir vous chercher à cause d'une situation urgente. Il y a eu une prise d'otage au parlement. Les criminels demandent les invisibles. Il est sur place et attend vos instructions."

je levais les yeux au ciel : Et voilà, ça n'a pas manqué. j'avais encore raison. Encore des embrouilles. Et ce n'était même pas moi qui les avait cherchées ! Enfin, je crois... Mais bon, toujours était-il que je devais m'y rendre. Et pas question de perdre ne serait-ce qu'un peu de sang alors que j'étais tout proche. Je reportai mon regard sur le jeune homme à mes côté : Il avait l'air d'avoir parfaitement récupéré. Je décidais donc de lui confier une nouvelle mission :

"Localise et contacte Mitsuko, Shin, Kitaï, Reiji et Asseyn. Dis-leur ce que tu m'as dit et donne-leur rendez-vous au parlement de ma part. Si tu croise d'autres invisibles, transmet-leur la mission. Recherche également les sections de combat 1 et 3. Tu as 15 minutes."

Ces cinq-là étaient les 5 grands maîtres de la guilde, et chacun maîtrisait à la perfection une arme différente. Tous traqueurs à la base, ils étaient cependant très doués en espionnage et en infiltration. Shin Seiko était un maître du katana, tandis que Kitaï Mikomi, elle, était experte dans le maniement de son arc long à double courbure. Reiji Shinomine était inégalé dans la maîtrise de la chaîne, tandis que Asseyn Fujisaki excellait dans le combat à deux épée.
Les sections de combat, elles, étaient des groupes d'assaut, composés de dix membres, entraînés spécialement pour affronter un certain type d'adversaire. Si besoin était, la section 1 était affecté à l'affrontement des guerriers, et la 3 à l'annihilation des mages.

Je regardais l'apprenti partir en courant vers le Sud, la où se trouvait Kitaï. Quand à moi, je m'élançai en direction du parlement. j'enchainai saut, passage d'obstacle et escalade avec dextérité, sans ralentir l'allure un seul instant. Tandis que 2 minutes plus tard j'approchais du parlement. Je ralentis et m'arrêtai, accroupi, sur une bordure de toit proche du bâtiment cible. Je possédais, accroché à ma hanche, un masque noir représentant, en toute simplicité, un visage. Ses seuls trous étaient pour les yeux. J'y avais également une paire de gants en cuir noir. J'enfilai les gants, puis mis mon masque, devenant ainsi complètement méconnaissable.

Peu de temps plus tard, les maîtres invisibles arrivèrent, ainsi que les sections de combat, se postant silencieusement derrière moi, tels autant d'ombres mortelles. Je pouvais ressentir la tension qui les animait et répondit à leur question silencieuse :

"Il n'en manque plus qu'une..."

hrp: je préviens tout de suite, je prend de la première personne pour la narration, trop l'habitude maintenant.

J'étais cette fois sortis un peu, la première fois que je prenais la peine de sortir en près d'un mois que je vivais en ville. Je restais cependant plus ou moins cachée un pur réflexe, une habitude. Je vis de loin arriver un jeune homme, rien qu'à sa tenu et sa façons de courir tout en restant silencieux me laissais comprendre qu'il étais lui aussi de la guilde. Je me découvris de l'ombres de l'arbre sous le quel je me trouvais. Étant la seule de la guilde dans les environs, et pas du tout dans le sens du QG ou du parlement, je compris très rapidement que s'était moi qu'il cherchait. Je lui laissa quelque instant pour freiner sa course et reprendre un peu son souffle avant qu'il ne m'explique la situation. Mon regard se noircit légèrement en entendant ces paroles.

"Très bien, j'y vais tout de suite."

Je pris donc aussi sec le chemin du parlement, courant à travers les rue sans même prendre la peine de me caché, je pensais bien que ce que j'avais à faire étais plus important que de me caché au regards. J'arrivais assez rapidement à proximité du bâtiment où étais retenu les otages. Je repérai sur un toit proche d'autre grand maitre ainsi que, d'après le nombre, 2 des sections de combat. Je grimpais habilement à mon tour sur le toit et entendis juste la dernière, et à mon avis la seule, parole prononcée.

"Plus maintenant." Murmurai-je en réponse

Je continuait a jouer ma mélodie. Celle ci en apparence ne semblait pas avoir d'utilité première mais si quelqu'un l'entendait, il ne tarderait pas a être repéré par break. Les invisibles étaient peut être la? Je ne sais pas. Mais je sentais que quelque chose de mauvais se préparait...Je regardait dehors et avait l'impression de voir quelque chose... C'était vraiment a peine perceptible et je me dit que c'était peut être mon imagination.

Break, j'ai l'impression que nos invités ne vont pas tarder. Si on pouvait éviter une effusion de sang, surtout de leur coté ça m'arrangerait beaucoup...

En effet, je n'avais aucune envie de me battre. Mais si ils insistaient, je n'hésiterai pas un seul instant pour les tuer, un par un. En attendant, les "otages" semblaient beaucoup rassurés. Tous observaient la fenêtre, ce que je trouvais particulièrement louche. Je regarda donc encore une fois, mais ne voyait rien de suspect. Sois j'étais devenu myope, sois les invisibles étaient la et je ne les voyait pas. En réalité, j'espérais qu'ils étaient deja là. Sa offrirait un peu de distraction.

Break avait trouvé dans une autre pièce une reserve de nourriture. Parmi elle, un pot de cornichon. Lorsqu'il fut de retour, il se batta tant bien que mal pour l'ouvrir. Cela fait maintenant trente minute qu'il essaie tant bien que mal (plus mal), mais pas moyen. Il avait beau utiliser ses dents, ses couteau, ses main, pas moyen.

"-Break, j'ai l'impression que nos invités ne vont pas tarder. Si on pouvait éviter une effusion de sang, surtout de leur coté ça m'arrangerait beaucoup..."

Dit Xalen, mais Break n'en fut rien, il ignora la phrase, comme si il ne l'avait carrément pas entendu, occupé à ouvrir son pot de cornichons, qui était pour lui le plus terrible adversaire qu'il n'avait jamais combattu. Malgré le fait qu'il en ai combattu beaucoup et de toute sorte. Il se retira au fond de la salle pour sa besogne...

Mitsuko arriva juste au moment où je finissais ma phrase. Nous étions donc tous là. Je me retournais sur moi-même et les regardais un par un.
quinze minutes... il faudra penser à féliciter le jeune Shuko, l'apprenti qui était venu me chercher.

Je commençai a parler, d'une voix qui n'était qu'un souffle, déformée par la présence du masque, et pourtant parfaitement audible par les assassins qui me faisaient face :

"Nous sommes tous là. On vous a déjà exposé la situation. L'ennemi se trouve dans la salle du parlement. D'après ce que j'ai entendu en vous attendant, il ne sont que deux. Mais il ne faut pas les sous-estimer... Nous allons procéder prudemment. Kitaï, tu vas te poster sur la fenêtre présente sur le toit. Les 2 sections de combat se posteront avec toi et seront prêtes à intervenir. Les autres, nous allons y aller tout en finesse. Nous passerons par la grande porte. Et si elle résiste, nous la détruirons... S'ils veulent nous voir, ils nous verront. Des questions ?"

Et oui, ce plan n'était pas véritablement discret, mais il fallait agir au plus vite. De plus, la salle du parlement ne possédait pas d'autres issues.

"Pour moi tout est très clair."

Une réponse simple, mais largement suffisante. Je pense que tout les autres avaient bien compris aussi. Il n'empêche que j'avais été très surprise en entendant que les assaillants n'étaient que 2. Il fallait être complètement fou ou très puissant pour risquer une tel manœuvre à seulement 2 quand on savais pertinemment que c'était une vingtaine de personnes qui arriverais en renfort... Je ne les sous-estimais pas pour autant. De simple fous auraient déjà été neutralisé à mon avis, il devaient donc être assez redoutable, pour avoir réussi à se faire respecter des otage assez rapidement de ce que j'avais compris. Je restais pour le moment immobile, un seul geste des autres et j'exécuterais le plan tel qu'il étais prévu.

Finalement les invisibles avaient l'air d'être venus. je commença ma mélodie, qui, j'espérai se ferait entendre dans les rangs ennemis. Celle-ci avait pour but de les forcer a rentrer dans la pièce dans se battre.

Si ce plan marchait, break allait pouvoir faire le sien sans accros. Les ennemis devaient nous prendre pour des fous ou des débutants, si c'était le cas, ils auraient une trés grande surprise. Pendant ce temps, break semblait se battre avec un bocal a cornichon...Il n'était pas trés doué, d'autant plus que ce n'était pas vraiment le moment de manger des légumes baignants dans le vinaigre...

HRP : waw, et en plus il est devin. Mais il a tout pour plaire celui-là.

"Bien, nous sommes tous prêts, alors c'est parti. Honneur à Kitaï. Va avec les sections de combat sur le toit. dès que tu seras en place, préviens-nous."

Elle hocha la tête et s'élança, suivit par les deux sections de combat. Elle arriva vite sur le toit du bâtiment parlementaire. Elle prit son arc, encocha une flèche. Pendant ce temps, les groupes d'assaut se mirent en rang, accroupis, prêt à l'intervention. Elle jeta un coup d'oeil furtif à l'intérieur du bâtiment avant de s'écarter prestement de l'ouverture. Elle leva ensuite les yeux vers moi et me fit un signe de tête. Je levai alors la main droite. Dans la seconde qui suivait, je m'étais levé et courait en direction de la porte. je descendis du toit en souplesse, sautant de balcon en poutre, crochetant une gouttière au passage, avant de me laisser tomber au sol. Les gens me regardèrent tout d'abord avec étonnement, mais quand ils prirent conscience de mes vêtements noirs, ils comprirent qui j'étais et s'écartèrent avec un respect fortement emprunt de crainte, de même que les gardes qui étaient prêts de la porte, légèrement défoncée par les coups de béliers qu'ils y avaient mis. Je m'en approchai et tentai tout de même de l'ouvrir. Mais apparemment, quelque chose la bloquait. Je me retournais vers un garde et tendit une main vers la lourde hallebarde qu'il portait. Il me regarda avec étonnement, hésita un instant, puis me la tendit. D'un geste large, je fis décrire à la hallebarde un large arc de cercle, qui se finit dans la porte, au niveau du gond en bas à gauche, brisant ainsi le lien qui la retenait attachée au mur à ce niveau-là, faisant voler des bouts de bois un peu partout. Je reproduis le geste au niveau des 5 autres gonds, nécessaires pour retenir la lourde porte de chêne. je jetais sa hallebarde au garde et reculai de quelques pas. Après quelques instants, un affreux grincement retentit, et la porte bascula lentement. Elle tomba lentement dans ma direction, et se fracassa dans un énorme vacarme, laissant apparaître l'intérieur de la salle, découvrant sous mes yeux le mec dérangé que j'avais rencontré l'autre fois sur le bord de l'impromptu, ainsi qu'un étrange squelette vivant... Que des phénomènes apparemment.

Je m'attendais bien à de la rapidité, mais pas tans que ça. Sei étais déjà descendu que je commençais à peine à descendre. Disons aussi que je ne prenais pas tout à fais la même chemin, il faux dire que je prenais bien plus d'appuis que lui, sans doute le manque d'habitude. Bref, je finis par arrivé en bas et les autres aussi. Je le laissais ouvrir la porte en restant en retrais. Cette dernière tombas au sol après un grincement assourdissant. Voyant l'une personne n'être qu'un squelette, je m'interrogeais en silence, comment une tel créature pouvais exister? Et quand mon regard ce posa sur le second, j'eus envi de pouffer de rire, mais je n'en fis rien, mauvaise idée que de rire dans se genre de situation. Il étais en plein conflits avec un pot de cornichons... Ces gars me faisaient plus pensé à des clowns qu'à des personne puissantes. Ce n'étais pas pour autans que je baissais ma garde, la méfiance restais importante pour ne pas sous-estimer un adversaire, il étais bien possible que ces personnes cachent leur jeux.

Break et Xalen était encerclé de toute part des fameux invisibles. Il repris une sucette pour réfléchir et analyser la situation tout en posant son pot de cornichon. Il était plus nombreux que lui, ils étaient dans leurs terrain, et y avait des fille, dont Break avais pour code de ne pas se battre contre des filles (du moins pas souvent). Parmi les invisible, deux tout particulièrement attira l'attention de Break, une fille brune, au yeux sans vie, assez discret et mignonne, et un garçon au regard familier... Très familier. Malgré le fait que lui et son compagnon étaient en mauvaise posture, il gardait une certaine confiance et son sourire monstrueusement mesquin et à la limite du démoniaque.

"-Ah mais voilà donc les fameux invisibles.e pense qu'il est temps que l'on se présente. Je me nomme Xerses, meneur de l'ordre du tempe d'Aelys, 4eme du nom je crois, mais peu importe. Quant au mort là bas, on l'appelle Xalen, parfait musiciens, il sait se faire très discret, mais il est très puissant."

Son sabre était posé sur la table, il la repris et la remis à la ceinture. A noter qu'il était à sa seconde sucette, il lui en resté une. Il repris un air assuré et regarda celui qui avait la tête du meneur :

"-Il faut qu'on cause tout les deux, à propos de quelque chose d'assez important, serait t-il bon d'aller dans un autre endroit plus discret, rien que tout les deux. Je conseillerai aussi aux autres de se rendre, car Xalen à déjà gagner..."

Il attendait avec patience la réponse de son interlocuteur. Son regard n'avait pas changé, représentant celui d'un prédateur. C'était très intéressant. Les assassin devait vraiment être coriace, tous autant qu'ils étaient. Heureusement qu'il avait Xalen, ou il aurait aucune chance de ne serait-ce "survivre" face à de tel adversaires. Effectivement, pour Break, il était tout aussi intéressant que lui soit fou, ou que Xalen soit mort, avec le fait qu'ils ait un regard sans vie, d'envie de survivre, d'être des prédateurs, et au final tout comme lui, des monstre...

Je vit arriver par la porte deux membres des invisibles. Un homme assez imposant, et une fille assez discrète. Sa ne m'étonnerai pas que beaucoup d'autres soient dehors prêts a nous attaquer. Mais comme break l'avait dit, cela m'importait peu car la victoire m'appartenait. Ils ne s'en étaient pas rendus compte, mais le fait que je joue ma musique a la fenêtre n'avait rien d'un hasard. Ils l'avaient surement entendus, de plus que je continuait de la jouer même après l'intrusion. Mais les mots de Break m'avaient sourire.

-haaaaa...Bon je vous conseille de rappeler les hommes, enfin si il y en a, qui doivent nous surveiller dehors, car sinon vous risqueriez d'avoir une trés mauvaise surprise mon cher...

Je m'était adressé a l'homme qui semblait être le plus puissant. Je n'avais pas envie de combattre, mais si ils m'obligeaient, ça n'allait pas leur être bénéfique...

Il ne connaissait pas notre nombre ni nos capacités, et ils affichaient pourtant une confiance absolue. Lorsque je remarquai cela, une certitude monta en moi : Ils étaient imbus d'eux-mêmes et leur attitude puaient la vanité à des kilomètres à la ronde.

"-Il faut qu'on cause tout les deux, à propos de quelque chose d'assez important, serait t-il bon d'aller dans un autre endroit plus discret, rien que tout les deux. Je conseillerai aussi aux autres de se rendre, car Xalen à déjà gagner...

Mon visage, recouvert d'un masque, ne put s'empêcher de tiquer, chose que les deux idiots me faisant face ne pouvait remarquer, du fait justement de la présence dudit masque. Leur paroles exsudaient de suffisance, à un point que c'en était étouffant. Le gamin à l'épée se targuait d'être le chef de l'ordre du temple. Vu son comportement, j'étais fortement étonné qu'il ne fut pas mort. Il n'avait aucune estime de ses adversaires. Ils étaient deux face à l'inconnu, et il osaient pavaner. Ce comportement avait le don de m'irriter. Je sentais d'ailleurs une froide colère sourdre en moi, partant du plus profond de mon être, pulsant dans mes veines, irriguant mes membres de son venin glacial.

Pendant ce temps, Mitsuko et mes hommes étaient arrivés à mes cotés, légèrement en retrait. Chacun d'eux était tendus comme la corde d'un arc, prêt à agir au moindre signe de ma part. Je pris alors la parole, d'une voix vibrante de colère mais néanmoins assurée :

"Xerses et Xalen. Ce ne sera pas trop loin à écrire sur vos tombes, c'est déjà ça de pris. Vous, impudents étrangers, qui osez venir dans notre paisible cité, troubler la réunion de notre conseil, vous permettez en plus de nous "ordonner" de nous "rendre" ? Vous êtes en sous-nombre et ne connaissez ni notre quantité, ni nos capacités. Vous êtes sur notre territoire, ne connaissez ni le terrain, ni les caractéristiques de la ville. Nos éclaireurs sillonnent la ville et aucune troupe d'Aelys n'y est présente. Vous n'avez donc aucune possibilité de renfort. Vous êtes deux, coupés de chez vous par des milliers de lieux, face à une force ennemie au nombre inconnue. Et vous vous permettez de fanfaronner ? La folie vous guette. Et apparemment, c'est le sac d'os qui tient seul votre salut entre ses mains ? vous êtes très présomptueux. Soit vous nous sous-estimez, soit vous vous sur-estimez. Dans les deux cas cette erreur vous mènera à perte. Quand à ces pourparlers que vous réclamez, il n'y en aura aucun."

Mon corps tout entier, dissimulé sous ma cape noire, frémissait de rage contenue. les lames scintillantes qui habitaient mes bras semblaient vibrer d'une énergie mauvaise, comme prête à sortir et annihiler l'existence de ces deux êtres pitoyables et imbus d'eux-mêmes. Mes veines palpitaient sous l'effet de la colère, et une aura sombre semblait émaner de mon corps.

"Je suis Shiro Tagashi, meneur des invisibles, et jamais je ne me ferai dicter ma loi sur mon territoire !"

Après ce fabuleux discours, Xerses fit signe qu'il avait ignorait le message. Il confia son arme à Xalen, et s'approcha main en l'air vers le meneur. Le discours n'avait pas l'air de l'effrayer, au point qu'il ne l'a peut-être même pas entendu. Il avançait, lentement à cadence régulière, pointant toujours un sourire, mais différent cette fois, car il avait, à la différence de d'habitude, les yeux baissés. Lorsqu'il était à un metre de l'homme, il fit signe de le suivre et dit :

"-Allons dans la pièce à coté, seul à seul."

Il n'ajouta rien, pas un mot pas une syllabe, rien. Il attendait juste la réponse de son interlocuteur. Mais pourquoi le chef des invisible le suivrait ? Si il pouvait, il tuerai Break de sa main, ce qui serait bien normal avec le crime qu'il a commis. Pourtant, Break resta confiant, Sei devait, si il était ne serait-ce sage, accepter. Pourquoi ? Si Break était venue prendre ces risques pour au final lacher son arme, ce n'était pas par hasard. Il avait prévu ceci depuis le début, il savait les risque qu'il entreprenait, mais ceux qu'il a poussé à faire ceci, c'était pas ce simple facteur de hasard : la confiance. Malgré ça, une aura sombre dégageait du jeune homme. Ce n'était pas bon, pas bon du tout pour lui, cela était la seule chose imprévue, et la question se posa à Break : Va t-il être tué ? Ou est ce que la sagesse triomphera ?

Il avança vers moi en baissant les yeux et s'arrêta à un mètre de moi.

"-Allons dans la pièce à coté, seul à seul."

décidément, il cumulait une quantité énorme de défaut : en plus d'être stupide et arrogant, il était sourd... Aussi répétais-je lentement afin qu'il comprenne bien, malgré son intellect limité.

"Il me semble te l'avoir dit : Je ne te suivrais nul part."

Puis je me souvins d'une leçon que m'avait dit mon maître : Quand on fait face à un imbécile à la tête dure, il faut appuyer ses paroles avec des actes. Une seconde après cette réflexion, ma cape se souleva, comme sous l'effet d'une faible brise, durant une minuscule fraction de seconde. Juste le temps le temps pour 3 de mes couteaux de partir en direction de Xerses. A moins d'un mètre, il était impossible de les esquiver sans dommage, surtout vu la vitesse qu'ils avaient.

Des couteau à grande vitesse, allèrent, ou plutôt foncèrent sur Break dans des direction impossible à esquiver. Il n'avait pas d'arme ni de bouclier, et il n'avait pas les réflexe de l'assassin pour saisir les couteaux, et pourtant il garda confiance. Il attendit le dernier moment pour parer. En tendant le bras, pour se prendre les trois couteau sur ce membre. La surprise, Break n'en ressentait rien. Par un fraction de seconde il dit sa douleur, pour cause qu'il en avait aucune. Il commença à retirer les trois couteau disant :

"-Ah, je vous l'ai pas dit, je suis quelqu'un de malade du corps. Alors que certaine personnes ressentent des choses avec les nerfs, ce n'est pas mon cas. J'ai la pire maladie du monde, une algoataraxie, insensibilité congénitale à la douleur, si vous voulez des lumière, sachez qu'il peut y avoir plusieurs raison à ceci, mais dans mon cas, c'est l'ineffiacité de la natanox pour contrer l'endorphine. Remarquez, c'est pratique pour le combat, mais vraiment pas pour la vie quotidienne."

Xerses disait vraie. Il était née dans une famille qui lui a transmise cette maladies, et c'était le plus lourd fardeau du monde. Cela pourrait aussi expliquer son appétit de sucette. Car les gens, atteint de ces maladies, on tendance à sans faire exprès se mordre les lèvres, et pour éviter la tentation, Xerses bouffe des bonbon tout le temps, il faut l'avouer, c'était une technique efficace. Sa maladies lui était pratique pour résister aux longue et interminable séance de torture.

"-Allons monsieur, je n'ai encore tué personne, sûrement parce que j'en veut point. Dois-je vous exposer les raison de ma venue ? Bien. Malgré le fait que ce soit sûrement un secret, personne ne peut échapper à la rumeurs, disant que les solitaires veulent attaquer JetRan pour la collecte d'information. Si vous voulez vous confronter à tout les membre des forces obscures, votre tache sera difficile. Par contre, vous avez la chance que nos intêret permettent l'entre aide, je suis venue pour une alliance temporaire de nos guildes."

Break sortit des bandeau de son sac pour enrouler son bras. Il repris aussi l'épée si un imprévu tel que celui-ci allait se reproduire. C'était la dernière chance de Break, si l'assassin refusait de l'écouter, Xalen détruirai son cerveau de part et d'autres.

Quel arrogance! Prétendre qu'ils avaient gagné sans même avoir conscience de se que nous pouvions faire ou du nombre que nous étions. Je jetai un rapide regard sur mon chef avant de le retourner vers les 2 énergumènes. Pas d'ordre, dont je le laissai s'occuper de la situation lui même. Petit monologue pour essayer de leur remettre les idées place, mais sa ne suffis pas, vu et étant donner qu'il insista stupidement. Je ne bougeai pas, observant juste les évènement. Puis 3 des couteaux de Sei volèrent à grande vitesse vers l'idiot à la poupée, je ne comprenais pas comment, mais il restai très confiant. Pour seul parade, il posta son bras en travers du passage des armes sans affiché le moindre signe de douleur ou autre. Puis il expliqua pourquoi il n'avais rien ressentis, ceux dons je me fichais royalement. En suite, il expliqua la rumeur et proposa une alliance temporaire. pour cette histoire, sois c'était une fausse rumeur, soit un plan en préparation dont personne n'avais encore eu échos dans les rangs.

Je ne bougeai cependant pas, gardant mes bras croisé sous me poitrine prête à prendre mes dagues quelque centimètre plus bas si j'en avais ordre ou que le situation m'y contraignais. En attendant, je regardais l'autre abruti se bandé le bras pour ensuite retourner prendre son arme qu'il avais précédemment confier à son partenaire squelettique. Je ne savais pas se qu'il tramais, mais je ne le sentais pas... Je restais méfiante, active en une seule seconde au moindre ordre ou attaque.

Et en plus il se met a mentir comme un effronté...

"quelque soit la sensibilité de vos nerfs, ce dont je me fiche complètement, vous commencez à courir sur les miens. Vous prétendez n'avoir perpétré aucun meurtre ? Alors comment se fait-il que le nombre de nos dirigeant soit passé de vingt à dix-sept ? Quand à votre plan, je n'en fais pas un secret, c'est de notoriété publique. Et toute alliance entre votre cité et la notre sur le plan est inenvisageable... surtout que pour qu'il y en ai une, il faudrait qu'il y ai deux parties vivante... et rien ne promet que vous le serez encore... Surtout que l'un de vous est déjà mort..."

un sourire carnassier releva le coin de ma bouche. Je me mis légèrement de profil et mes jambes se firent plus souple sur leurs appuis. J'étais prêt à agir.

Derrière moi, le chuintement discret des tenues de mes alliés m'indiquèrent qu'ils étaient également prêt.

Break fit encore comme si il n'avait rien entendu, il n'attendait pas une réponse de l'invisible, car une question comme la sienne requiert du temps pour être analysé. Restant perplexe, calme, souriant, mais surtout silencieux, il se dit qu'il était temps pour lui de partir, il était resté pile le temps qu'il fallait, sans trop, sans moins, c'était le moment idéale pour retourner chez soit après un avant gout de combat, et une discussion à "presque de la limite du "quiproquo" plutôt risquée.

"-Je vous remercie d'avoir répondu à mon appelle, il est temps maintenant de nous dire en revoir."

Se tournant vers son collègue, Xalen, qui était resté silencieux jusqu'alors, cause du fait qu'il préférait sûrement écouter ce que disait break et l'autre invisible, tout en analysant la situation avec brio, et sûrement encore, en organisant une belle stratégie, et se redirigeant vers lui (en prenant au passage le pot de cornichon), et lui dit à voix haute de sorte que tout le monde puisse entendre :

"-Il est maintenant temps, mon cher Xalen, de mettre un terme à notre concert, à vous la note final, de sorte à ce qu'on puisse regagner les coulisse de façon grandiose !"

C'était donc cela qu'ils espéraient ? se barrer en jouant du flutiau ? c'est bien ce que je pensais, ils n'ont aucune idée de nos capacités... Justement, au moment ou il avait commencé à parler de la "note finale", la flute de son ami osseux se mit à briller et le silence se fit. Kitaï, de son toit, avait compris le danger.

"Voilà donc à quoi servait cette affreuse cacophonie. Je ne sais pas qu'elle était censé être l'effet de cette note, mais nous ne l'entendrons jamais. Il s'agit là du pouvoir de l'un de mes hommes. Il lui permet de supprimer toutes les ondes sonores provenant de l'objet de son choix, comme cette flûte par exemple. mais la discrétion permise par cette technique est anéanti par la luminosité qui sors de ce même objet. Mais comme nous sommes en plein jour, cela ne pose pas de problème. Vous voilà désormais contraints de nous affronter pour sortir d'ici en vie..."

Ils étaient pris au piège, encerclés par mes hommes. Peu importe leur puissance, ils ne pourront s'en sortir indemne.

"Je ne sais pas si ce pipeau était votre seule chance de vous échapper, mais vous êtes mal barrés. Il n'y a aucun moyen de rompre ce sort..."

bon et bien...je n'ai plus qu'a essayer quelque chose...

Je prit ma flute et essayait d'en jouer...Mais aucun son n'en sortait. Je jouais plus fort en essayant une melodie speciale mais rien n'y faisait. En fait j'entendait la melodie, mais j'etait bien le seul...Je jouait de plus en plus fort mais rien n'y faisait. Et a un moment j'eu comme, une sorte d'eclair m'eclater dans la tête. Je lacha ma flute et tomba a genoux. Mes mains tremblaient, je peinait a me retenir. Au final cela ce finit. Je me releva difficilement et me mis dans un coin. Que m'arrivait-il? Je ne savais pas. Jamais un truc pareil ne m'etait arrivé.

-break...faut qu'on s'en aille...

Je ne put dire autre chose. Tant pis si j'avais a me batre au corps a corps (ce que je ne savais pas du tout faire...), mais il fallait partir d'ici. Je sentait une douleur monter dans ma tête, bien que mon corps n'etait qu'un squellette...