Akushon
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 Présentation de Sei Nokami [Validée & à Compléter]

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AuteurMessage
Sei Nokami
Meneur des Invisibles
Sei Nokami


Messages : 470
Date d'inscription : 03/03/2010
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Age: 19 ans
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MessageSujet: Présentation de Sei Nokami [Validée & à Compléter]   Présentation de Sei Nokami [Validée & à Compléter] Icon_minitimeMar 4 Mai - 22:57

†. Sei Nokami .†
Try to know the Shadow of the Wind...

Présentation de Sei Nokami [Validée & à Compléter] Sei_j_11
« Fiche de Sei Nokami »

•Age: 19 ans
•Sexe: Mâle
•Orientation Sexuelle: Hétérosexuel
•Alignement: Solitaires



Physique

De prime abord, on n'apercevait de Sei qu'une haute taille, cachée sous une cape (un peu spéciale, elle sera décrite plus bas) dont le capuchon soustrayait aux regard le haut de son visage, ne laissant visible que le bout de son menton. Une fois le capuchon enlevé, on pouvait apercevoir son visage.
Un visage fin au traits durs et à la joue gauche barrée d'une cicatrice, de l'œil à la mâchoire. sa peau légèrement hâlée contrastait fortement avec ses courts cheveux gris acier laissés à l'abandon, assez long toutefois pour être en bataille.
Mais le contraste était plus fort encore avec ses yeux turquoise. Vifs et attentifs, rien ne leur échappait. Son regard semblait transpercer les personnes qu'il croisait, passant à travers chairs et peaux pour scruter leurs âmes. Il reflétait l'intelligence de leur possesseur, mais aucune émotion n'en transparaissait s'il ne le voulait pas.
Sa bouche, de même, ne trahissait que rarement ses émotions. et ses rares sourires, en coin, équivalaient à des éclats de rire chez toute autre personne.
Sa cape, elle, révélait un corps svelte mais pas sans défense. Sous sa peau couraient des muscles fins mais puissants qui, associés à sa souplesse, faisait des ravages en combat rapproché. Il maîtrisait parfaitement le close-combat et le combat au corps-à-corps (il maîtrise ses armes avec une dextérité hors du commun). Sa musculature lui venait entre autres choses de longues heures d'entraînement à l'escalade, pratique qu'il maîtrisait désormais à la perfection, capable d'escalader les parois les plus escarpées comme celles possédant un minimum de prises, presque lisse.
Son corps était habillé d'un pantalon et d'une tunique sans manche de tissu noir, souple et de qualité. Ses vêtements étaient prêts du corps afin de ne pas gêner ses mouvements. Il portait des bottes en cuir souple de bonne qualité. En outre, ses avants bras étaient protégés de brassards de cuir de même couleur, noués par des lacets et dissimulant des plaque d'acier de qualité, léger et résistant, dont il se servait pour parer des attaques portées au corps à corps.
Ses mouvements étaient à la fois fluides comme l'eau et vifs comme le vent, et sa démarche, souple et silencieuse, lui octroyait la grâce d'un félin. Un long entraînement avait aiguisé ses sens, notamment son ouïe et sa vue. Capable de la plus grande discrétion, sa dextérité lui permettait de subtiliser n'importe quel objet à un passant sans que celui-ci s'en rende compte, talent très utile pour récolter des informations. Il était cependant du genre de personne qui se faisaient oublier dès qu'elle disparaissait.
Il se dégageait de lui une aura d'assurance, de puissance sereine qui ne laissait aucun doute à son sujet :
Sei était un prédateur

•Toc : Dès qu'il a du temps, il ferme les yeux et écoute le vent souffler, espérant un jour comprendre les doux murmures de cette élément au creux de son oreille (Cela ne perturbe pas le moins du monde son attention au monde qui l'entoure, bien au contraire)

Caractère


D'un caractère sombre et taciturne en public, Sei était à l'image de son visage : En grande partie cachée par l'ombre. Il parlait peu, mais bien. Ce mutisme, contrairement aux dire de certains, n'était pas dû à des capacités limitées, mais simplement à une absence de réflexion pertinente à fournir.
Bien au contraire, il se révélait d'une vivacité et d'une intelligence rare, associé à une capacité d'adaptation qui faisait de lui un excellent stratège.
Cette vivacité d'esprit faisait que, parfois, il ne pouvait se retenir de lancer des répliques cinglantes, aussi mordantes que rares.
Homme d'honneur, il ne revenait jamais sur sa parole, une fois celle-ci donnée. Il ne mentait jamais sans une bonne raisons. Il n'avait sous-estimé son adversaire qu'une seule fois, lors de son apprentissage, mais la cuisante leçon qu'il en avait tiré l'avait incité a ne jamais reproduire son erreur. Il avait même tendance au contraire, et ne se lançait jamais dans une mission sans une bonne préparation préalable.
Peu de personnes le connaissait réellement, mais celles à qui il accordait sa confiance trouvaient en lui un indéfectible allié.
Outre cela, il ne supportait pas qu'une personne manque de respect à sa propre famille ou la néglige. Ces comportements faisaient monter en lui des pulsions meurtrières qu'il contenait avec le plus grand mal. Il détestait l'injustice et la combattait du mieux qu'il pouvait, en fonction de ses capacités. Nombre de représentants de l'ordre et magistrats véreux étaient passés au fil de sa lame. Il s'efforçait de se montrer bon et juste, mais, toute chose étant relative, la justice comprise, il ne savait s'il y parvenait.
Adorateur de la nature, les plantes et les animaux lui étaient sacrés (sauf les pigeons et les insectes, dont il se fout royalement), et toute maltraitance envers un être vivant entraînait sous courroux immédiat, et une sentence toute aussi prompte, aussi surement que si c'était lui que l'on avait menacé avec une arme.

Pour les autres, il n'était qu'une ombre indiscernable.

•Peurs: Se retrouver enchaîner, sans la moindre possibilité de mouvement pour se défaire de ses liens.

•Rêves: être aussi libre que le vent, et comprendre ce dernier.


Histoire

Aujourd'hui est une date anniversaire. Le mien. le dix-neuvième. Mais c'est également ce lui de ma sœur. Le dixième. Cela fait aujourd'hui dix ans qu'elle est morte. A l'époque, je n'avais que onze ans, et elle en avais quatorze. nous vivions avec nos parents dans un petit village, loin de l'agitation de la grande ville, et proche d'une grande forêt. Notre mère était une des femmes les plus douces ayant foulés cette terre, et son sourire faisait fondre tous nos problèmes d'enfants comme neige au soleil. Notre père, lui, était un pêcheur passionné mais dénué de talent. En effet, il était capable de partir des jours durant à la pêche, sans jamais ramener la moindre prise. Je me rappelle une chose qui m'a toujours étonné chez lui : sa démarche. Semblable à la mienne aujourd'hui, elle était gracieuse et silencieuse, ce qui contrastait avec sa condition de pêcheur. Ses longues absences étaient cependant rares, et il était souvent auprès de nous, et sa présence était rassurante et réconfortante. Il ne se mettait jamais en colère, et son humour nous faisait immanquablement rire aux éclats.
C'est dans ce cadre utopique, par un doux après-midi de printemps, que survint la tragédie qui bouleversa ma vie. Nous étions dans la forêt proche de ma maison, ma sœur et moi. Comme a mon habitude, je me trouvais dans un arbre, montant dans les branches avec une agilité qui démontrait l'habitude que j'en faisais, afin de cueillir les plus beau fruit, juteux et sucrés. Je sentais le vent qui s'engouffrait à travers le feuillage et venait me caresser les visage, les branches qui ployaient doucement sous mon poids. Ces sensations, ainsi que celle de m'élever, de m'arracher à la gravité, m'emplissait de bonheur, simple mais puissant. je parvins rapidement au sommet, et regardait en bas. Ma sœur se trouvait là, en train de cueillir des fleurs, sûrement pour notre mère. Je l'appelais en criant et en faisant de grands signes de bras. Elle leva la tête et, en m'apercevant à la cime de l'arbre, me fit un grand sourire. Comme d'habitude, mon cœur bondit de joie à la vue de ce sourire si sublime et empli de tant d'amour. Je cueillis deux gros fruits, assez petits toutefois pour pouvoir les tenir dans une seule main, et entreprit la descente. Habitué à cette exercice, cela ne me posais pas plus de problèmes que si j'avais eu mes deux mains.
Alors que j'arrivais presque au bas de l'arbre, un étrange sifflement me fit m'arrêter et relever la tête. J'entendis alors un bruit mat au pied de l'arbre. Je baissais les yeux avec effroi, et ce que je vis m'effara plus encore : Ma sœur gisait au sol, un hampe de bois noir fichée dans l'abdomen, empennée de trois plumes blanches. Sous le coup de l'horreur, ma main droite se desserra, laissant tomber les fruit, qui s'écrasèrent au sol dans un bruit de succion. Je redescendis, me laissant presque tombé, ralentissant à peine ma chute en m'accrochant une fraction de seconde au branche, avec la rapidité et la dextérité d'un singe. je fus près d'elle en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Je la pris dans mes bras, évitant soigneusement de toucher à la flèche, et tentait de réfléchir, mon esprit embrumé par la terreur. Des craquement de branche me parvinrent dans mon dos. Je me retournais, et aperçut quatre hautes silhouettes. quatre hommes. Tous vêtus de noir, une cagoule recouvrant leur visage, ne laissant que leurs yeux de visible, ils s'avançaient avec assurance, recouverts de tenues de cuir proches du corps. Deux d'entre eux tenaient un arc à la main, mais tous avait une dague à la ceinture. La moitié portaient, sur l'épaule droite, un morceau de tissu noué blanc, et l'autre moitié un noir. En les apercevant, je sentis la douleur et la peur se transformer peu à peu en haine, un haine immense immense et incommensurable envers ces quatre inconnus. Tremblant et pleurant de rage je levais et me retournais vers eux. Sans aucun sens des réalités, la peur de la mort et la raison effacées par la colère, je m'élançais, espérant, animé par quelque fol espoir, leur infliger une quelconque, pour leur faire regretter de s'en être pris à ma sœur. Je ne réussis qu'à m'étaler lamentablement, à un mètre de l'homme le plus proche. Je me relevais et, avant d'avoir pu esquissé le moindre geste, je fus saisi au col par le plus proche des hommes. Il me souleva de terre comme un vulgaire animal, et me toisa de haut en bas. Je me débattais, mais sa poigne me tenait aussi sûrement qu'un étau de fer. A mes larmes de haine s'additionnèrent des larmes d'impuissances. Soudain, ses yeux se vrillèrent aux miens, brillant de haine. Je trouvai soudain mon corps plus lourd que de la pierre et cessai de bouger, comme la proie du serpent s'immobilise en croisant son regard. Un éclat lumineux au niveau de sa hanche attira mon regard. Avec effroi, je vis sa dague monter, lentement, à hauteur de mon visage, à quelques centimètres de ma peau.
Allait-il me tuer ? Allait-il me crever les yeux ? Allait-il m'égorger ? Dans ma tête se bousculaient une multitude de questions de cet acabit, engendrées par la peur. Il changea sa main à mon col de prise, la ramenant à mon menton, afin que ma tête ne puisse bouger. Il approcha sa lame de mon œil gauche. Elle était très effilée, et tranchante comme un rasoir.
Je ne pouvais plus espérer qu'un miracle.
Il la posa juste sous mon œil, et souffla d'une voix chargée de haine :
"Un souvenir pour ton père."
J'attendais toujours le miracle.
L'homme bloqua sa respiration et, par réflexe, je l'imitais.
Qui ne vint pas.
D'un seul coup, la main de l'homme partie. Traçant une longue ligne, partant vers le bas, le morsure brulante du métal glacé, ouvrant progressivement son chemin sur ma joue, laissant une ligne sanglante sur son sillage. La douleur explosa dans mon crane, produisant des explosions de couleur dans mon champ de vision. comme si c'était la clé pour pouvoir enfin reprendre la maîtrise de mon corps, avec la douleur revint ma mobilité. Pas très utile, c'est vrai. mais elle revint tout de même. J'agrippai donc le bras de mon tortionnaire, mes deux mains décalée, sur son avant-bras. je serrais aussi fort que je pouvais en me débattant, espérant vainement lui faire mal. Soudain, j'eus l'impression que mes paumes se déchiraient. La seconde d'après, l'homme qui me maintenait en l'air poussa un hurlement de douleur et me lâcha. Surpris, je m'affaissai en touchant le sol.
Ce fut sûrement ce qui me sauva la vie. En effet, au même instant, le bras de l'assassin fouetta l'air, et sa lame, qui aurait du me trancher la gorge, ne me fit "que"une longue estafilade, partant de la joue gauche, croisant l'autre cicatrice et passant sur mon nez. Je me rétablis rapidement et fis quelques bonds en arrière. Mon regarde se posa sur l'avant bras de l'adversaire, et mes yeux s'écarquillèrent. Complètement déchiqueté, il était percé de part en part, et, séparé en deux parties, il était désaxé, comme s'il avait eu une articulation au milieu. Sa main pendait misérablement, inutile. Je regardais alors mes paumes, et ce que j'aperçus me fis frissonner.
De plaisir ou d'effroi, je ne saurais dire.
Au milieu de chacune de mes paumes se trouvait une lame d'acier gris aux reflets irisés, une lame possédant deux tranchants très aiguisés. Aucune goutte de sang ne sortait de mes mains. Il semblait que ce fut ces lames qui, en sortant de mes mains, avaient défoncé le bras de l'autre. Aussi surprenant pour moi que pour lui, Cette faculté encore inconnu m'avait rendu un fier service.
Je me souvins soudainement que j'avais face à moi quatre dangereux tueurs. Je relevai la tête. Ils étaient en train d'échanger des regards, se demandant que faire. Ils prirent alors le parti de fuir. Après m'avoir jeté un dernier regard, porteur de haine et de promesse de mort, ils firent volte-face et partir en courant.
Essayèrent du moins.
en effet, ils avaient à peine fait quelques pas qu'une silhouette sombre jaillit de la cime d'un arbre proche. Personne ne l'avait entendu approcher. Silencieuse même lors de son saut à travers les arbres, elle s'abattit sur eux, telle la mort. Tourbillonnante, elle atterrit au milieu des quatre assassins, qui s'étaient immobilisés, accroupie, les jambes légèrement décalées, les bras écartés, tel un oiseau prêt à prendre son envol. Lorsque la silhouette sombre se releva, les 4 autres s'écrasèrent au sol. Mortes.
La nouvelle silhouette était également celle d'un assassin. Mais, contrairement aux autres, elle inspirait la respect et dégageait une profonde assurance. Elle n'était pas cagoulée, et ses cheveux me rappelait quelque chose. Il s'agissait d'un homme, qui fit demi-tour. Face à moi, je le reconnut et m'élançai vers lui.
"Papa !"
Durant ma course, je sentis la peur et la colère décroitre en moi, et mes lames se rétractèrent. je sautai au cou de mon géniteur, laissant couler mes larmes. puis je me rappelais le corps de ma sœur, toujours étendu par terre. je le désignais d'un doigts tremblant à mon père. Il me posa doucement à terre, puis se dirigea vers elle en courant. Il lui tâta le pouls, puis la pris dans ses bras. D'un signe de tête, il m'indiqua de le suivre, puis parti en courant vers la maison. je le suivis, peinant à le suivre malgré la charge supplémentaire que représentait ma sœur. Dès que nous arrivâmes à notre maison, qui se trouvait à quelques centaines de mètres de là. A peine avions-nous passer le pas de la porte que mon père hurla pour appeler ma mère. Je ne l'avais jamais vu perdre son sang-froid comme ça.
En effet, ma mère possédait de véritable talent de guérisseur. Elle connaissait toutes les plantes, et leurs effet selon la préparation, les mélanges, les méthodes d'application. un vrai druide.
Elle arriva en trombe dans le salon, tandis que mon père, avec son pied, renversai la lourde table en bois massif pour enlever tout ce qui se trouvait dessus, puis la redressai. Tout en tenant ma soeur dans ses bras. Il la posa en douceur, tandis que ma mère, horrifiée, se couvrait les mains de la bouche. Mon père s'écarta ensuite, afin de laisser le champ libre à ma mère. Celle-ci fit une multitude de test pour évaluer les chances de survie. Bientôt, ses gestes traduisaient, par leur lenteur et leur fébrilité, du peu de chance qu'avait ma chère soeur de s'en sortir. Mais mon père et moi restions silencieux, comme si nous étions persuadés que tant que ma mère ne prononçait pas la sentence, il y avait de l'espoir. Quelques minutes plus tard, le pire pour nous arriva.

Elle la prononça.

Le visage de mon père se décomposa. Ma mère se jeta dans ses bras et, ensemble, il pleurèrent. Pour ma part, je sentais les flots de larmes qui se pressaient au coin de mes yeux, mais je tentais de les retenir. Je me précipitai auprès de ma soeur. Sa robe, blanche à la base, était maintenant écarlate. Elle avait perdu beaucoup de sang, et sa peau était désormais pâle. Ses traits étaient tirés par la douleur. Je me mis alors à pleurer comme jamais auparavant. Je pleurais ainsi longtemps, sans interruption, Prostré au-dessus d'elle. au bout d'un long moment, je sentis quelque chose de froid effleurer ma joue. je relevais mes yeux rougis, et aperçu la main de ma soeur, comme en apesanteur. elle se reposa contre ma joue.

Elle était froide.

Glacial même.

Comme la mort.

Mais malgré tout, je trouvais ce contact plus réchauffant qu'un feu de bois en plein hiver. Alors qu'elle était au seuil de la mort, ma soeur parvenait encore à me réconforter d'un seul geste. Comme poussé par cette pensée, un timide sourire parvint jusqu'à la surface de mon visage et se fixa sur ma bouche, brisant la masque d'affliction dont il s'était paré. je regardais alors ma soeur, comme si je la voyais pour la première fois.
Ses cheveux blonds ondulés, lui arrivant jusqu'au visage, encadrait un visage rieur à la peau clair. Ses yeux marrons pétillait de malice, même au bord de la mort. Sa bouche, bien qu'ayant perdu leur couleur rose à cause du manque de sang, étaient figées en un beau sourire, qui m'était adressé personnellement.
C'est ainsi qu'elle mourut, souriante, aussi belle dans la vie que dans la mort. Et, plus réconfortant que n'importe quelle parole bienfaisante qu'elle aurait pu dire, cet ultime sourire était ma source de réconfort à travers le temps qui passait, même aujourd'hui, dix ans plus tard.
A l'évocation de ce souvenir, une larme unique roula sur ma joue.
Un unique murmure s'échappa de mes lèvres.
Son prénom.


"Océane..."


Dans l'impatience de pouvoir faire un peu de RP, je vous fait un petit résumé de ce qu'il se passe après. Ce résumé sera étoffer au fil du temps, en fonction de mes disponibilités. =)

6 mois plus tard, maman mourrait. Nul ne su si c'était de chagrin ou de maladie. Papa et moi nous retrouvions seuls. Je savais dorénavant qu'il était un assassin, et il ne s'en cachait plus. Nous nous sommes tous deux renfermés sur nous même. La maison était souvent silencieuse et nos rires avaient presque disparus, mais nous vivions toujours. Une complicité nouvelle s'était forgée entre nous. Durant son temps libre, mon père m'entrainait a me battre, afin que je puisse me défendre si l'incident se reproduisait. Malgré sa modestie, je voyait bien qu'il était très doué dans son art. Je faisais de rapide progrès. Il était avare dans ses compliments, mais les quelques fugitives expressions de fierté que j'attrapais sur son visage m'emplissait de bonheur.
Lors de mes 13 ans, il revient après une absence de plusieurs jours. Mais pour une fois, il était accompagné. Un homme haut et fin, tout comme lui, et qui portait les mêmes habits sombres.
Un assassin.
Ce dernier me proposa de devenir son apprenti, pour une durée de 5 ans. J'acceptai sans hésiter. Aussi talentueux que mon père, il se révéla un très bon professeur. Je devins sous sa tutelle l'un des meilleurs invisibles ayant jamais existé (en toute modestie). Lors d'une mission, le jour de mes 17 ans, je rencontrai Ho Yun, un puissant guerrier destiné à devenir mon meilleur ami. Malgré des débuts tortueux, nous devînmes rapidement de très bons amis, nous confiant l'un à l'autre nos plus grandes craintes et nos plus grand secrets. Notre confiance l'un en l'autre était absolue.
Je devins un véritable assassin un an plus tard. L'examen final, jugeant de notre niveau, me promulgua directement au niveau de maître Invisible, les plus puissants de la guilde parmi lesquels était élu le maître de guilde lors du décès du précédent. Cette place se libéra 6 mois après mon arrivée à ce grade.
J'y fus élu.
Je devins ainsi le plus jeune Grand Maître de la guilde des Invisibles depuis sa création.
C'est donc en tant que jeune Grand maître, ne cependant pas confondre avec influençable, que me voici, encore 6 mois après, à vous raconter mon histoire.

Armes/Pouvoir

Armes :

- Une dague dotée d'une lame d'une quinzaine de centimètre, légèrement courbe, vers la pointe, et fine. A simple tranchant, elle était faite en bon acier, résistante et légère, elle était dénuée de fioriture, simple ustensile de mort. A l'exception près de la gravure d'un loup sur la lame, tout de sang et de jais (les couleurs de la gravure, je précise xD). le pommeau, qui s'adaptait parfaitement à sa paume quelque soit le sens dans lequel il la tenait, était recouvert de tissu noir afin de ne pas lui échapper. L'arme ne disposait pas de garde.
Elle était glissée dans un fourreau, à sa ceinture, du côté droit.

Elle possédait cependant une capacité magiques des plus appréciables pour un assassin tel que moi. En effet, contre un tribut de sang, plus ou moins important selon la distance à parcourir, elle me permet de me téléporter à l'endroit de mon souhait, pour peu que je l'ai déjà vu. Forgé en mêlant mon sang à l'acier de la lame, je suis la seul à pouvoir me servir de cette magie. C'est aussi à cause de cette particularité que l'utilisation de mon sang est bien plus efficace que celle d'une tierce personne. Je peux également emporter plusieurs personnes avec moi, mais en ce cas, le tribut de sang à payé augmente exponentiellement.
Une vingtaine de dagues de lancer, disposer un peu partout sur son corps. longue de quinze centimètre, avec une lame droite en mesurant dix, ils n'étaient qu'acier, rendu sombre par une teinte spéciale, sans altérer leurs capacités meurtrières. le tranchant bien effilés, coupantes comme des rasoirs, les lames était alourdies par des filins de fonte, placés en leur centre, afin d'être plus stable en vole, et surtout de se planter dans le bon sens. les poignées, d'acier également, étaient striées afin de ne pas glisser, s'il décidait de les attraper par ce côté-là.
Disposés symétriquement (je ne décris qu'un côté), il en avait trois sur l'arrière de l'épaule et sur le haut de la cuisse à l'extérieur de la jambe, tout comme les deux au niveau de ses bottes. Toutes tournées pommeau vers le haut, afin d'être saisis plus aisément. Il en possédait encore deux autres, dans le bas du dos, tournées vers l'extérieur. elles étaient toutes dans de fins étuis sombres, légèrement serrés afin qu'elles ne tombent ni ne le blessent, quoiqu'il fasse. Elles n'entravaient en rien ses mouvements.


Pouvoir :

- Des lames d'acier, tranchantes et solides, lui sortent des paumes, dans l'axe du bras, de la taille qu'il souhaite. Les rares personnes ayant vu cette capacité sont des amis proche de Sei, ou repose désormais en paix auprès de leurs ancêtres...


Signe Particulier

- Une cicatrice barrant sa joue gauche (voir image ^^)

- Un blason orne sa poitrine gauche, représentant la tête d'une loup blanc montrant les crocs, ses yeux rouges sang faisant écho au croissant de lune de même couleur qui l'entourait, passant par la gauche et le dessous.

- Une cape très particulière le revêtait, une cape aux propriétés magiques. En effet, cette cape, en plus d'être inusable (mais transperçable par des flèches, découpable par des épées, c'est pas une armure non plus XD), elle changeait de couleur au gré de la volonté de Sei. Le plus souvent noir, lorsqu'il se déplaçait anonymement, il lui choisissait des teintes différentes lorsqu'il était en mission. Il la morcelait de plusieurs nuances de la couleur dominante de son environnement (exemple : nuances de vert en forêt) ainsi que de noirs. cela avait pour effet de disloquer la vision qu'un éventuel adversaire pouvait avoir de lui, le rendant beaucoup plus difficile a repérer.

« Hors Jeux »


Prénom: zlougouloutulibi
Age: 17 ans
Codes: ancien du fo'
Comment trouves tu le forum ? Pas aussi bien que sa maîtresse toute-puissante, mais il se défend ^^
Autre ?
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